Nous entrons dans la fin de l’ère de l’argent bon marché : après la FED américaine, c’est au tour de la Banque nationale suisse d’augmenter son taux directeur pour la première fois depuis 2007. Le capitalisme est dans l’impasse.
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Nous entrons dans la fin de l’ère de l’argent bon marché : après la FED américaine, c’est au tour de la Banque nationale suisse d’augmenter son taux directeur pour la première fois depuis 2007. Le capitalisme est dans l’impasse.
Ces derniers mois, l’économie mondiale s’est progressivement dirigée vers un état de chaos. Les magasins sont en rupture de marchandises, les stations-service n’ont plus d’essence, les prix de l’énergie se sont envolés et les grands ports occidentaux sont complètement engorgés. Les bateaux sont amassés en queue et doivent parfois attendre des semaines avant d’être déchargés. Au moment même où il était dit que la crise du Covid était terminée et que la vie reprenait son cours normal, le marché mondial ressent la pression d’une série de crises convergentes.
De plus en plus souvent, la prostitution est qualifiée positivement de « travail du sexe » – également par la gauche. Mais la réalité des prostituées est marquée par la violence et le manque d’alternatives. Comment lutter durablement contre la prostitution sans nuire aux prostituées elles-mêmes ?
Le marxisme a toujours lutté pour l’émancipation des femmes. C’est pourquoi le 8 mars (Journée internationale des femmes) est un jour important pour nous, car il symbolise la lutte des femmes de la classe ouvrière du monde entier contre la discrimination, l’oppression et le capitalisme. Dans cet article, nous revenons d’abord sur l’histoire marxiste de la lutte pour les droits des femmes depuis la première Internationale jusqu’aux acquis obtenus grâce à la première révolution réussie, c’est-à-dire la révolution bolchevique. Ensuite, nous décrirons la condition des femmes sous le capitalisme, tant dans les pays développés que dans les pays en voie de développement. Enfin, nous posons la question de comment éliminer définitivement l’inégalité entre les hommes et les femmes.
L’oppression et la pauvreté des femmes augmentent à l’échelle planétaire – y compris en Suisse ! Nous expliquons pourquoi le capitalisme représente un obstacle direct à la libération des femmes et pourquoi la lutte des classes est une condition nécessaire à la victoire du combat des femmes.