Nous publions ici la traduction de l’éditorial du nouveau numéro de In Defence of Marxism, la revue théorique de la Tendance Marxiste Internationale, que vous pouvez commander en ligne (en anglais).
Lire la suite
Nous publions ici la traduction de l’éditorial du nouveau numéro de In Defence of Marxism, la revue théorique de la Tendance Marxiste Internationale, que vous pouvez commander en ligne (en anglais).
Du 24 au 27 juillet, plus de 2800 marxistes de plus de 50 pays du monde entier se sont réunis en ligne pour le congrès mondial de la Tendance marxiste internationale (TMI). Ce congrès devait initialement avoir lieu en 2020, mais il a été reporté à la suite de l’éclosion de la pandémie de COVID-19.
La pandémie et la crise ont marqué le congrès du syndicat Unia non seulement d’un point de vue logistique et organisationnel, mais certainement aussi politique. A l’initiative du courant marxiste, les délégués ont décidé la fin du partenariat social.
Dans la perspective de commencer des études socio-pédagogiques, l’accomplissement d’un stage dans le secteur social était une condition préalable. C’est pourquoi j’ai commencé un stage en tant qu’aide-soignante dans un foyer résidentiel pour personnes invalides, même si je savais à l’avance que mon salaire ne serait que de 800 CHF par mois. Lorsque j’ai examiné pour la première fois mes horaires de travail, mes inquiétudes ont augmenté. En tant que seule employée à 100%, j’étais parfois programmée pour plusieurs journées de travail de douze heures d’affilée. Pourtant, je ne voulais pas juger trop vite et j’avais hâte de travailler dans les services sociaux.
Une nouvelle vague de l’épidémie s’est engagée, en France, suivant une courbe qui monte très rapidement. Lundi, le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, déclarait : « la dynamique de l’épidémie est extrêmement forte, avec une vague plus rapide et une pente plus raide que toutes les précédentes ». Certains experts considèrent qu’il pourrait y avoir une nouvelle saturation du système hospitalier. Une chose est sûre : l’épidémie n’est pas « derrière nous ». Et cette année, elle flambe au cœur de l’été. Article de nos Camarades de Révolution (TMI France).