Le Conseil fédéral impose sa stratégie de contamination et supprime irresponsablement les mesures sanitaires. Il s’agit ainsi de protéger « l’économie », c’est-à-dire les profits des entreprises et des riches.
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Le Conseil fédéral impose sa stratégie de contamination et supprime irresponsablement les mesures sanitaires. Il s’agit ainsi de protéger « l’économie », c’est-à-dire les profits des entreprises et des riches.
Le capitalisme est un charognard. Quand le monde périclite, ses vautours se nourrissent du désespoir de la population. La compagnie pharmaceutique Pfizer n’en est que la plus sordide illustration.
C’est dans un bâtiment moderne et vitré que se trouve le siège principal du plus grand transporteur ferroviaire de marchandises en Suisse. Au milieu de tout cela se trouve le « centre de contrôle opérationnel ». La Dispo est le moteur de cette énorme entreprise de logistique. C’est ici que nous, les planificateurs, travaillons; coordonnons les chargements, les véhicules ou le personnel sur le terrain. Par exemple, les conducteurs de locomotive, les contrôleurs techniques ou les collaborateurs de la manœuvre. Nous gérons également les perturbations et les écarts par rapport à l’horaire. Parallèlement, nous sommes l’interlocuteur opérationnel des principaux clients et partenaires de notre entreprise, 24 heures sur 24, tout au long de l’année.
« Omicron avec vaccination, c’est plutôt comme des refroidissements » affirme le conseiller fédéral Alain Berset. Cette déclaration résume bien la situation actuelle. La Suisse compte officiellement environ 40 000 nouveaux cas par jour (il est plus probable qu’il y en ait 100 000 par jour), ce qui en fait, par habitant, l’un des chiffres les plus élevés au monde – mais le gouvernement national poursuit imperturbablement sa « stratégie d’immunisation » ( selon le conseiller fédéral Ueli Maurer). Cela signifie que le plus grand nombre possible de personnes doit être infecté par le variant Omicron en un minimum de temps et ainsi s’immuniser contre le coronavirus. Après tout, Omicron n’est pas si grave, comme l’expliquent Berset & Co. C’est un mensonge éhonté !
Don’t look Up souligne de manière humoristique le cynisme de la classe dirigeante, qui préfère sauver ses profits au lieu de sauver la planète. S’il expose le cul-de-sac du capitalisme, le film ignore le potentiel de la classe ouvrière à transformer la société
Attention! Cette critique contient d’importants divulgâcheurs.