Une vague d’attaques terroristes déferle sur l’Europe. Cette barbarie et la barbarie capitaliste sont deux faces d’une même médaille, que seule la classe ouvrière unie peut détruire.
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Une vague d’attaques terroristes déferle sur l’Europe. Cette barbarie et la barbarie capitaliste sont deux faces d’une même médaille, que seule la classe ouvrière unie peut détruire.
Depuis le début de la crise systémique, le racisme a connu un boom social. Mario Wassilikos (TMI Autriche) analyse ses origines, son fonctionnement dans la société et la façon dont il peut être combattu durablement.
La violence policière raciste fait partie de la vie quotidienne aux États-Unis, mais aussi en Suisse. Il est grand temps d’examiner de plus près la fonction des « gardiens de l’ordre » capitalistes.
Le mouvement déclenché par le meurtre de George Floyd a largement dépassé la ville de Minneapolis. Des manifestations contre le racisme et les violences policières ont eu lieu dans des centaines de villes à travers le monde, mobilisant des centaines de milliers de jeunes et de travailleurs. La classe dirigeante a réalisé qu’elle ne pourrait pas écraser le mouvement et essaie maintenant de recourir à la carotte plutôt qu’au bâton.
Le meurtre par la police de George Floyd – un homme noir non armé, qui a été menotté par quatre policiers à Minneapolis avant d’être étouffé – a déclenché une vague de manifestations dans tout le pays, s’intensifiant de manière incontrôlée dans plusieurs villes. Article publié le 30 mai sur le site de Socialist Revolution, section américaine de la Tendance marxiste internationale.