Récemment, à Londres, des militants écologistes ont aspergé de soupe un tableau de Van Gogh, et ce pour « protester contre l’extraction pétrolière ». A Potsdam, un tableau de Monet a eu droit à de la purée, cependant qu’à Paris la Joconde était « entartée ». A Lyon et à Paris, des collectifs d’activistes dégonflent les pneus de véhicules très polluants. A Toulouse, un collectif a bouché au ciment les trous d’un parcours de golf.
On peut imaginer bien d’autres « actions directes » de ce genre, qui ont un caractère essentiellement symbolique. Mais que dire de leur efficacité au regard de l’objectif affiché : « sauver la planète » ?
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